Le 28 novembre, la ministre de l’Enseignement supérieur a confirmé que certains examens pourront être organisés en présentiel « moyennant le respect de règles sanitaires strictes contenues dans un protocole dédié.
Pratiquement : un maximum de 200 personnes par auditoire ; un port du masque obligatoire et le respect d’une distance d’1m50. La question des examens de janvier inquiète particulièrement les étudiant·e·s du supérieur et pour cause, ils/elles devront attendre le 11 décembre prochain pour être informé·e·s sur la manière dont ils seront organisés. Pour la Fédération des Étudiants francophones, « cette échéance trop tardive ne permet pas aux étudiants de se préparer sereinement à des examens qui comprendront de nombreuses zones grises, qu’ils soient organisés en présentiel ou en virtuel. Rappelons que d’après notre enquête, 60% des étudiants se sentent déjà ‘complètement ou partiellement en décrochage scolaire’. Recevoir ces modalités si tard ne fera qu’aggraver la situation ».