« Des écoles POUR les adolescents – Un projet humaniste contre la violence »

Longtemps cachée et ignorée, la violence à l’école suscitait chez les victimes un sentiment de culpabilité. Un élève, souffre-douleur de ses condisciples, tendait à taire honteusement la violence subie et, s’il était en butte à une maltraitance institutionnelle, celle-ci était rarement véritablement prise en considération. Un enseignant chahuté ou victime de violences avait failli à sa mission et était considéré comme un mauvais enseignant. La victime était donc toujours, en quelque manière, fautive.

ÉTUDE 2007